25 Mars 2006
Après avoir marqué la récente édition de
Calle Alegria est un brin de soleil avant l’heure. Après avoir usée quelques souliers sur le bitume et les trottoirs, la formation a su affiner ses influences épicées à l’ombre d’un brûlant cagnard. Leur premier album « El Barrio » s’était rapidement vendu à 1500 exemplaires. On pouvait y contempler quelques paysages gorgés de lumière et de chants andalous, où les grillons ont été vite remplacés par les douces percussions et la guitare. Des complaintes propres à la « farniente » ou à la sérénade jusqu’aux ambiances festives et survoltées, les Calle Alegria avaient dès lors prouvé leur précoce maturité. Se refusant à tout enfermement, ils ont su intégrés de façon délicate et parsemée des parties chantées en français et de morceaux rapés comme en Amérique Latine.
Sensation hibérique
On comprend alors sans mal comment le quinquet a pu remporté le prix de
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Pour le journal Le Progrès