2 Novembre 2019
On sent très vite, derrière la narration de ce duo de musiques électroniques, la dimension intime et personnelle... Tout d’abord sur le nom : celui, semble-t-il, du lotissement où résidait ces deux frères (tiens, tiens). Puis sur la pratique, où le son et l’image sont sans cesse bricolés (et attestent d’une longue pratique), voire documentés avec ces allers-retours nostalgiques qui donnent toute la saveur à ces créations. Le tout, nourri aux réflexions humanistes et aux remises en cause poétiques. Bravo !
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