9 Septembre 2017
Et dire qu’il n’a fallu qu’une pinte à Gare de l’Est pour que trois voisins du Lubéron – un ancien du bar parisien Pop’In (devenu potier), un organisateur de concerts et un dj insatiable (Laurent Garnier) – se décident, en 2013, à créer leur festoch’ en plein village carte postale.
Loin de l’industrie musicale... Naturellement, les potes techos ont suivi, histoire de voir ce que planquait le calembour.
Si sa finalité étonne encore Arthur Durigon, le co-fondateur avoue que la manifestation s’est tout de suite inscrite dans la catégorie des festivals de 3e génération : « celle où le lieu, la jauge et le confort priment avant tout ». Et ce, même si « l’ambition n’est pas de revendiquer une ruralité, mais bien un esprit décalé ».
Résultat : une ligne éditoriale fantasque, une loge commune pour les artistes et des partenariats locaux (vignoble, huile d’olive, chèvre…).
Avec ça, comme voulez-vous être anti-Yeah?!
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